La résurgence de la question du chlordécone dans le débat public, avec la hausse des limites maximales autorisées sur certains produits, n'est pas étrangère à l'initiative.
Le Parc naturel de Martinique (PNM) a fait le constat suivant, comme le décrit Louis Boutrin, président de la structure : « Nous sommes interpellés par la sinistrose ambiante. Les Martiniquais se détournent des produits vendus sur les marchés en faveur des produits importés.