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Pas de mise en examen, ni de procès. Les deux juges d’instruction parisiennes chargées de l’enquête sur l’utilisation du chlordécone en Guadeloupe et en Martinique ont prononcé mardi la fin de leurs investigations sur ce dossier au motif de la prescriptibilité des faits, dirigeant l’affaire vers un non-lieu. Faut-il s’attendre à l’absence de réponse de la justice tandis que des milliers d’hectares de terres agricoles demeurent contaminés pour plusieurs siècles ?